Maman, de l’autre côté du voile,
je te parle avec le cœur.
je te parle avec le cœur.
Chaque fois que je franchissais le seuil de ta chambre à D’Youville,
ton sourire s’allumait,
simple, entier, vrai.
Ce sourire… il disait tout.
Sans mots, il me disait :
« Je suis heureuse que tu sois là. »
ton sourire s’allumait,
simple, entier, vrai.
Ce sourire… il disait tout.
Sans mots, il me disait :
« Je suis heureuse que tu sois là. »
Et moi, dans ce regard,
je sentais ton amour
comme une chaleur ancienne,
comme une racine invisible
qui me tenait debout
depuis toujours.
je sentais ton amour
comme une chaleur ancienne,
comme une racine invisible
qui me tenait debout
depuis toujours.
Ce n’est pas de grandes choses que j’avais besoin.
Pas de discours, pas de leçons.
Juste ce sourire.
Ce phare discret mais inébranlable
qui me disait que j’étais attendu,
aimé, accueilli.
Pas de discours, pas de leçons.
Juste ce sourire.
Ce phare discret mais inébranlable
qui me disait que j’étais attendu,
aimé, accueilli.
Maman,
tu m’as offert ce don silencieux,
celui qui guérit,
celui qui guide.
Et pour cela,
je te suis reconnaissant à jamais.
tu m’as offert ce don silencieux,
celui qui guérit,
celui qui guide.
Et pour cela,
je te suis reconnaissant à jamais.
Jean-Paul, merci pour tout comme on le disait à Jésus à la chapelle de ta dernière résidence à d'Youville. Je t'aime à jamais.XXXXX
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