mardi 6 mai 2025

Le monde contre le cirque impérial


Introduction :
Une tragédie mondiale se joue en silence : celle d’un monde en guerre contre une bouffonnerie américaine qui croit encore le diriger. Non pas une guerre de missiles et de chars, mais une guerre d’images, d’influence, de récits. L’Amérique n’est plus ce qu’elle prétend être. Elle est devenue, pour beaucoup, un spectacle absurde où la bouffonnerie trumpienne s'agite effrontément pendant que les peuples y voient un grand chaos qui provoquera la chute définitive de l'empire américain si le peuple ne se soulève pas avec fracas pour mettre fin à cette guerre clownesque.

Le clown est de retour — et ce n’est plus drôle
Le 5 novembre 2025 restera dans l’Histoire non pas comme une élection, mais comme une trahison. Une farce électorale où la vérité a été noyée dans les cris, les montages vidéo, les promesses creuses et les appels à la peur. Donald Trump, le grand clown orangé, est revenu au pouvoir en marchant sur les débris des institutions qu’il n’a cessé d’attaquer. Depuis, il ne gouverne pas : il démolit. Les fondements de la démocratie américaine sont devenus ses jouets. L’État de droit ? Un obstacle. La presse libre ? Un ennemi. Le peuple lui-même ? Un public à hypnotiser.

L’Amérique, miroir brisé de la liberté
Autrefois, le monde regardait les États-Unis avec admiration ou jalousie. Aujourd’hui, il détourne le regard, consterné. Ce pays qui se disait « leader du monde libre » multiplie les décisions autocratiques, les provocations absurdes, les alliances douteuses. Il ne montre plus la voie : il s’égare. Il ne défend plus la paix : il l’utilise comme slogan pendant qu’il alimente les tensions. Il ne protège plus ses citoyens : il les divise et les désinforme.

Une guerre qui ne dit pas son nom
Partout, les peuples ressentent cette guerre souterraine. Elle passe par les plateformes numériques, par les décisions économiques unilatérales, par l’intimidation culturelle, par la manipulation des symboles. Ce n’est plus l’Amérique des droits civiques, du New Deal ou du rêve américain. C’est l’Amérique d’un empire qui préfère le vacarme à la vertu. Un empire qui fait rire de lui… jusqu’au moment où il ne fera plus rire du tout.

Conclusion :
Le monde n’a pas à obéir à un bouffon couronné par la peur. Le peuple américain, lui, porte encore l’étincelle de Lincoln, de Roosevelt, de King. Mais cette étincelle risque de s’éteindre si elle ne devient pas brasier. Car ce ne sont pas les autres nations qui détruiront l’Amérique : c’est le rire moqueur d’un clown et le silence complice de ceux qui l’applaudissent. Il est temps de sortir du chapiteau. Il est temps que le monde et l’Amérique elle-même ferme le rideau sur cette comédie tragique.

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