Autour d’une table à la Mer Verte, entre deux éclats de rire et trois gorgées de bière, même les débats les plus fumeux sur "l'information" et les "narratifs" finissent par devenir plus clairs, voire carrément ridicules. On refait le monde, on rit des histoires de "vérités cachées" et on se rappelle que dans la vraie vie, les constructions un peu trop alambiquées finissent toujours par montrer leurs coutures.
Ces grandes théories du complot, vous voyez ? On les voit fleurir, promettant de tout chambouler, de "révéler" la face cachée de la lune. On a vu ça avec l'affaire Epstein, agitée comme un chiffon rouge par certains pour exciter les foules et promettre des révélations explosives. Mais aujourd’hui ? Le soufflé retombe. Les adeptes se sentent floués. Ceux qui avaient promis la lune n'ont rien livré d'autre qu'un gros pétard mouillé. Et ceux qui ont initié le manège se retrouvent parfois pris dans leur propre toile, essayant de passer à autre chose… Mais le monstre qu'ils ont créé ne dort jamais et réclame sa dose de sensationnel qu'il ne reçoit pas.
Pendant ce temps, ailleurs, d’autres injustices bien réelles, comme le traitement inhumain de ceux qui cherchent juste un refuge ou une vie meilleure, nous rappellent que la peur peut être drôlement instrumentalisée pour servir des politiques pas très reluisantes. Ça, ce ne sont pas des théories ; c'est une réalité qui fait mal.
Alors, les Boys de la Mer Verte, tout sourire et un brin moqueurs face à l'absurdité de certaines manipulations, lèvent leur verre à une vérité simple : les histoires sans fondement finissent toujours par s'effondrer sous leur propre poids ou face à la réalité. Et parfois, il vaut mieux en rire que d’en pleurer, surtout quand on voit le spectacle.
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