Autour d’une table à la Mer Verte, entre deux éclats de rire et trois gorgées de bière, même Trump finit par devenir un personnage de comédie. On refait le monde, on rit des histoires de complots, et on se rappelle que dans la vraie vie, les théories fumeuses finissent toujours par se retourner contre ceux qui les propagent.
L’affaire Epstein ? Une vieille rengaine que Trump et ses acolytes avaient utilisée pour exciter les foules en leur promettant des révélations explosives. Mais aujourd’hui, ces mêmes conspirationnistes se sentent floués. Ils s’en prennent à Pam Bondi et aux anciens alliés qui n’ont rien livré d’autre qu’un gros pétard mouillé. Trump lui-même, pris dans sa propre toile, essaie de passer à autre chose… Mais le monstre conspirationniste ne dort jamais.
Pendant ce temps, ailleurs, d’autres injustices bien réelles comme le traitement inhumain des migrants, rappellent que la peur peut être instrumentalisée pour servir des politiques sans cœur.
Alors, les Boys de la Mer Verte, tout sourire et un brin moqueurs, lèvent leur verre à une vérité simple : les mensonges finissent toujours par s’effondrer, et parfois, il vaut mieux en rire que d’en pleurer.
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