“Ils ont détruit les sites nucléaires pour mieux négocier la paix.”
Voilà, en une phrase, l’essence du paradoxe diplomatique mondial en 2025.
Les frappes américaines contre les sites nucléaires iraniens, sous l’opération Midnight Hammer, sont présentées comme une action « raisonnable », presque noble, dans un monde devenu fou. Mais en grattant le vernis, on découvre le décor d’un théâtre absurde, où les guerres ne sont plus qu’un prolongement logique de récits construits de toutes pièces.
🎙️ Des récits pour gouverner les peuples
Trump parle de paix tout en bombardant. L’Iran se pose en victime tout en finançant des groupes extrémistes. Les alliés applaudissent ou condamnent, selon leur rôle dans la pièce.
Et nous, les peuples, nous restons les spectateurs, parfois choqués, parfois divisés, rarement invités à réécrire le scénario.
💣 Une guerre vendue comme une série
L’industrie de la guerre est plus rentable que celle de la paix. Les armes ont plus de lobbyistes que les livres d’école. Et la réalité, elle, s’efface derrière le scénario du moment, dicté par ceux qui tiennent la plume… et les bombes.
🕳️ Le trou noir de la vérité
Non. Ce que nous vivons n’est pas un processus de paix. C’est une gestion du chaos, optimisée pour ne jamais perdre le contrôle sur les ressources, les territoires ou l’opinion publique.
🤲 Une insurrection narrative
Il est temps de refuser ces récits prémâchés. De sortir de ce théâtre absurde où les peuples ne sont que des figurants dans des scénarios écrits par des élites affamées de domination.
Il est temps de dire :
Non, la paix ne passe pas par la destruction. Non, la démocratie n’est pas un écran de fumée pour la suprématie militaire. Non, la vérité ne se trouve pas dans les communiqués, mais dans le silence des ruines et le cri des enfants.
🕊️ Conclusion
Mais il est encore temps de quitter la salle, de monter sur scène, et de raconter une autre histoire. La nôtre.
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