vendredi 1 août 2025

👥 Ce ne sont pas les humains qui sont mauvais, ce sont les mauvais dirigeants qui les font paraitre ainsi.


 

Il est faux de croire que l’humanité est mauvaise par nature. Ce sont les dirigeants qui la font paraître ainsi, en imposant leur cynisme, leur avidité ou leur brutalité.

🛑 Vladimir Poutine

Un homme qui s’accroche au pouvoir en étouffant toute opposition, en réprimant la liberté de la presse, et en lançant des guerres meurtrières pour satisfaire une vision impériale dépassée. Selon la politologue Karen Dawisha, la Russie fonctionne comme une kleptocratie, contrôlée par une élite oligarchique autour de Poutine (Wikipedia – Putin’s Kleptocracy).

🛑 Donald Trump

Un homme qui a réussi à faire croire à des millions d’Américains que leur pays allait mal, alors même que l’économie était en croissance. Il a semé la méfiance envers les médias, la justice, la science, et même la démocratie.
Dans un article récent, The New Yorker parle d’une politique du pillage, où les lois sont manipulées au service des intérêts privés de quelques milliardaires, au détriment du peuple (The New Yorker).

Ces hommes ne sont pas les reflets de leur peuple.
Ils sont les parasites du pouvoir.

🧭 Une autre voie est possible

Nous avons besoin de dirigeants au service de l’humanité, pas au service des profits ou de leur ego. Il faut :

  1. Investir dans les services publics, pas dans la guerre.

  2. Répartir équitablement la richesse, pas la concentrer.

  3. Protéger les droits humains, pas les manipuler.

  4. Éduquer pour éclairer, pas pour dominer.

  5. Construire des ponts entre les peuples, pas des murs.

Comme l’explique Olivier De Schutter, rapporteur spécial de l’ONU :

« L’obsession pour la croissance enrichit les élites et détruit la planète. Il faut une économie fondée sur les droits humains. »

💡 Conclusion

Ce n’est pas l’humanité qui est perdue.
C’est le système politique qui a trop souvent été capturé par des hommes sans éthique.
Ce ne sont pas les peuples qu’il faut blâmer. Ce sont leurs mauvais bergers.

Remettons l’humain au cœur de nos décisions.
Exigeons des leaders qui servent, pas qui asservissent.
Et n’oublions jamais : les humains sont bons en majorité. Ce sont leurs dirigeants qui ne le sont pas.

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