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Pas de guerre, pas de cash – le vrai miracle trumpiste
Dans le grand théâtre du monde, on dit que l’histoire bégaie.
Mais avec Trump, elle braille. Elle crache, elle postillonne.
Elle s’amuse des morts et s’agenouille devant les profits.
Et pendant que les analystes cherchent la stratégie,
lui, ne cherche qu’une chose : le fric.
Le miracle trumpiste, ce n’est pas d’avoir redonné à l’Amérique sa grandeur,
c’est d’avoir compris, avec le flair d’un vendeur de condos à Las Vegas,
que la guerre, c’est plus payant que le pétrole, les chars ou les usines.
Et tant pis si des gens crèvent. Ce n’est pas personnel. C’est du business.
🎩 Le tour de passe-passe : vendre la guerre comme un forfait cellulaire
D’abord, il a grogné contre l’OTAN, traité ses alliés de radins.
Puis il leur a imposé 2 %, puis 5 % de leur PIB en dépenses militaires.
Un deal à la Trump : « Je vous protège… mais vous payez. »
680 milliards USD plus tard, les alliés européens ont craqué.
Et qui encaisse les chèques ?
Lockheed. Raytheon. Northrop. Boeing.
Tous américains. Tous Trump compatibles.
Le vrai miracle, c’est d’avoir vendu la guerre comme un abonnement obligatoire.
Et pendant que les autres payaient, l’Amérique fabriquait, livrait et encaissait.
💸 Trump, homme d’affaires avant tout – et pour toujours
Trump s’en fout de l’ordre mondial.
Il s’en fout des Ukrainiens qui fuient.
Il s’en fout des Yéménites enterrés.
Il s’en fout de l’ONU, des traités, des droits humains.
Ce qu’il veut, c’est du cash, et si possible le plus gros cash possible.
En bon homme d’affaires, il a flairé que le vrai filon, ce n’est pas l’automobile,
ni le retour des usines dans l’Ohio, ni même les raffineries au Texas.
Tout ça, c’est pour les caméras. Des décors en carton pour son film de président.
La vraie machine à billets, c’est l’industrie de la guerre.
Et pour l’exploiter à fond, il ne suffit pas d’être président.
Il faut être un dictateur.
👑 Une marche vers la richesse absolue – sur les cadavres
Sa plus grande ambition n’est pas de gouverner.
C’est de devenir le président le plus riche de la planète.
Et pour ça, il lui faut la guerre. Des guerres. Des longues, des juteuses, des rentables.
Et pour que personne ne le freine,
il lui faut écraser les contrepouvoirs, les juges, les journalistes, le Congrès,
jusqu’à transformer l’Amérique en empire privé, avec lui comme PDG à vie.
La démocratie ?
Un obstacle.
Les morts ?
Une statistique.
Le pouvoir ?
Un levier.
Le profit ?
La seule fin qui justifie tous les moyens.
🩸 Qui s’enrichit ? Qui saigne ?
Ce sont les multinationales, les actionnaires, les familles Trumpiennes
qui s’enrichissent.
Et ce sont les enfants des autres qui meurent.
Ceux des civils. Des soldats. Des pauvres. Des anonymes.
Les petites mains de la guerre mondiale que Trump orchestre depuis son trône doré.
🔥 L’arme fatale : la peur rentable
Pas besoin de tirer. Il suffit de faire peur.
Pas besoin d’envahir. Il suffit de faire croire qu’on va le faire.
Pas besoin d’avoir raison. Il suffit d’avoir du cash et de vendre un danger.
Et tant qu’il y aura des pays prêts à payer pour des tanks et des missiles,
il y aura des Trump pour leur en fournir.
Et moi je dis…
Y’en a qui se demandent comment on en est arrivé là.
Moi je me demande surtout combien il va encore lui falloir de morts pour devenir milliardaire en armes.
Parce que, voyez-vous, dans cette industrie-là,
quand y’a pas de guerre, y’a pas de cash.
Alors il entretient le brasier.
Pas trop. Juste assez pour que ça flambe à nouveau.
Et il sourit. Comme tout bon marchand de feu